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Ann. Phys.
Volume 7, 1982
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Page(s) | 455 - 464 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/anphys/198207070455 | |
Published online | 26 April 2017 |
Raies satellites de recombinaison diélectronique
Dielectronic satellite lines
DAPHE, Observatoire de Paris, 92190 Meudon, France. Département d’Astrophysique, Université de Mons, 7000 Mons, Belgique.
Les raies satellites de recombinaison diélectronique issues des états autoionisants où l’électron spectateur, n[math], est lié dans une couche n ⩾ 3, convergent vers les raies parentes correspondantes et modifient leurs profils et leurs intensités apparentes. Dans le présent article les méthodes de calculs permettant d’estimer ces effets sont considérées et appliquées aux cas du Fe XXV et du Fe XXVI. Les résultats théoriques sont comparés avec des spectres d’éruptions solaires et de plasmas Tokamak et montrent un bon accord entre théorie et expérience.
Abstract
Dielectronic satellite lines arising from autoionizing states with the spectator electron, n[math], bound in a high shell (n ⩾ 3) converge toward the corresponding parent Unes therefore modifying their apparent profile and intensity. The theoretical methods developed to estimate these effects are reviewed and applications are considered for the resonance Unes of Fe XXV and Fe XXVI. The theoretical results are compared to observations of solar flare and Tokamak spectra and show good agreement between theory and experiment.
© Masson et Cie, Paris, 1982